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Generative Engine Optimization (GEO) : la nouvelle frontière du SEO.

Depuis plus de vingt ans, le SEO (Search Engine Optimization) est la colonne vertébrale de la visibilité digitale. Dès les années 1990, les premières optimisations consistaient à placer quelques mots-clés dans les balises meta et à soumettre son site aux annuaires de l’époque. Rapidement, avec l’essor de Google et son algorithme basé sur la popularité des pages (PageRank), le référencement naturel est devenu une discipline à part entière. Les entreprises ont appris à travailler leur contenu, à obtenir des backlinks et à soigner l’expérience utilisateur pour espérer apparaître en première page des SERP.

À mesure que les algorithmes se sont complexifiés, le SEO a intégré de nouvelles dimensions :

  • La qualité éditoriale, mise en avant par les mises à jour Panda et Hummingbird.

  • La notion d’autorité et de netlinking, renforcée par Penguin.

  • L’expérience utilisateur, avec un accent mis sur la vitesse, le mobile et la navigation.

Pendant près de deux décennies, le SEO a donc évolué de façon incrémentale : de la technique pure vers une approche plus holistique mêlant contenu, UX et data.

Mais un nouveau tournant est arrivé avec l’essor de l’intelligence artificielle générative. Au départ, elle s’exprimait sous la forme de chatbots capables de répondre à des questions sans véritable logique de moteur de recherche. Puis, en 2023-2024, la bascule s’est opérée : des plateformes comme ChatGPT Search, Perplexity ou You.com ont commencé à hybrider les deux mondes : l’exploration du web et la génération de réponses synthétiques. Au lieu de renvoyer une simple liste de liens bleus, elles agrègent, filtrent et reformulent l’information en temps réel pour livrer directement à l’utilisateur une réponse claire et contextualisée.

C’est dans ce contexte qu’est née une nouvelle discipline : le Generative Engine Optimization (GEO).
Le GEO n’est pas un simple prolongement du SEO. C’est un game changer. Là où le SEO visait à améliorer la position d’une page dans les résultats classiques, le GEO consiste à optimiser la présence d’une marque dans les réponses générées par des moteurs d’IA. Autrement dit, il ne s’agit plus seulement de « se classer », mais d’être cité, intégré et reconnu comme source fiable dans une réponse conversationnelle produite par un modèle de langage.

Cette mutation change radicalement les règles du jeu :

  • Les utilisateurs obtiennent leur information sans forcément cliquer sur un site.

  • La notion d’autorité se déplace : ce sont les IA qui choisissent quelles sources elles synthétisent.

  • La compétition ne se fait plus uniquement sur la première page Google, mais sur la capacité d’une marque à émerger dans un environnement génératif.

Et cette évolution n’est pas théorique : nous la mesurons déjà. Chez Déferler, sur nos clients les plus avancés en stratégie digitale, le GEO représente entre 1,5 % et 3 % du trafic total. Cela peut sembler marginal, mais c’est colossal si l’on considère que l’année dernière (2024), cette part était de 0 %. En quelques mois seulement, la progression est fulgurante et démontre que le GEO n’est pas une tendance passagère, mais bien une nouvelle ère de la visibilité en ligne.

Comprendre le GEO

Le Generative Engine Optimization (GEO) est la réponse directe à une transformation profonde : le passage des moteurs de recherche traditionnels aux moteurs de réponses génératives. Pour bien saisir ce changement, il faut revenir à la logique initiale du SEO et comprendre pourquoi elle atteint aujourd’hui ses limites.

Pourquoi le SEO traditionnel ne suffit plus

Le SEO a longtemps été conçu comme un jeu de classement. L’objectif : apparaître en haut des pages de résultats de Google ou Bing. Les leviers étaient connus :

  • Technique : un site rapide, bien structuré, accessible aux robots.

  • Contenu : des textes optimisés pour des mots-clés stratégiques.

  • Popularité : des liens entrants pour renforcer l’autorité.

Cette mécanique continue d’exister et reste cruciale. Mais la manière dont les internautes consomment l’information évolue rapidement. Quand un utilisateur tape une requête, il ne veut plus explorer dix pages de résultats. Il veut une réponse immédiate, fiable et contextualisée.

C’est là que le SEO montre ses limites. Les SERP classiques supposent une étape supplémentaire : cliquer sur un lien, scroller, chercher soi-même l’information. Dans un monde où l’instantanéité domine, cette logique est perçue comme une friction.

La logique des moteurs de réponses

Les moteurs de réponses génératives changent complètement cette dynamique.
Ils s’appuient sur deux piliers :

  1. Les LLM (Large Language Models), capables de comprendre et de reformuler une question en langage naturel.

  2. Une couche de recherche web qui va chercher des sources actualisées pour enrichir la réponse.

Résultat : lorsqu’un utilisateur interroge ChatGPT Search, Perplexity ou Google AI Overview, il ne voit plus une liste de dix liens bleus, mais une synthèse intelligible qui combine plusieurs sources. L’expérience est radicalement différente : la réponse est immédiate, fluide, souvent contextualisée avec des exemples ou des mises en perspective.

Prenons un exemple concret :

  • Requête classique sur Google : « meilleures agences de growth marketing à Paris ».
    L’utilisateur reçoit une liste de pages, qu’il doit parcourir et comparer.

  • Requête sur Perplexity : la plateforme propose directement un résumé expliquant quelles agences sont considérées comme leaders, avec des citations de sources, parfois des avis clients et des éléments de différenciation.

Dans ce scénario, le clic devient optionnel. L’utilisateur a déjà sa réponse.

Le rôle du GEO dans la nouvelle visibilité

C’est précisément là qu’intervient le GEO. Puisque les moteurs génératifs produisent des réponses complètes, il devient essentiel que votre contenu soit intégré dans cette synthèse. Cela change la logique de l’optimisation :

  • Il ne s’agit plus seulement de viser la position 1 dans Google.

  • Il s’agit d’être repris, cité et reconnu comme une référence par les IA.

Concrètement, le GEO repose sur plusieurs leviers :

  • Structurer son contenu de façon claire, avec des données facilement exploitables par un modèle d’IA.

  • Travailler l’autorité et la fiabilité : les moteurs génératifs privilégient les sources qu’ils estiment crédibles.

  • Anticiper le langage conversationnel : les requêtes ne sont plus des mots-clés bruts, mais des phrases complètes.

  • Éviter le contenu vague : un article superficiel aura peu de chance d’être retenu. L’IA privilégie la profondeur, la précision et les éléments vérifiables.

En somme, le GEO redéfinit la notion de visibilité digitale. Être visible ne signifie plus apparaître dans une liste de résultats, mais être intégré directement dans la réponse que l’utilisateur reçoit. C’est un changement de paradigme majeur, qui demande une réinvention des stratégies de contenu.

GEO vs SEO : différences et complémentarité

Le Search Engine Optimization (SEO) et le Generative Engine Optimization (GEO) ne s’opposent pas. Ils s’inscrivent dans la continuité l’un de l’autre. Pourtant, leurs logiques sont fondamentalement différentes. Comprendre leurs points communs et leurs divergences est essentiel pour bâtir une stratégie de visibilité complète.

SEO : la bataille des SERP

Depuis son origine, le SEO vise un objectif précis : obtenir la meilleure place possible dans les SERP (Search Engine Results Pages). Les méthodes sont connues :

  • Optimisation technique (crawl, vitesse, mobile).

  • Optimisation sémantique (mots-clés, champs lexicaux, balises).

  • Optimisation de l’autorité (backlinks, signaux de popularité).

Le KPI central reste le positionnement. Être premier sur Google pour une requête stratégique, c’est capter une part majeure du trafic.

Mais cette bataille est exigeante : la concurrence est féroce, les algorithmes changent sans cesse, et l’utilisateur est de plus en plus impatient. Même bien classé, un site peut perdre du trafic si son titre n’attire pas le clic, ou si l’internaute trouve sa réponse directement dans un extrait enrichi (Position 0).

GEO : être cité dans la réponse

Le GEO fonctionne sur une autre logique. L’utilisateur n’a plus sous les yeux une liste de liens, mais une réponse générée par une IA conversationnelle. Dans ce contexte, le clic n’est plus garanti. La vraie victoire est d’être cité dans la réponse.

Concrètement, cela suppose de produire des contenus qui remplissent trois conditions :

  1. Crédibilité : l’IA va privilégier des sources reconnues comme fiables (sites institutionnels, médias réputés, agences spécialisées).

  2. Pertinence contextuelle : le contenu doit répondre directement à la question posée, pas seulement contenir les bons mots-clés.

  3. Structure exploitable : paragraphes clairs, données chiffrées, définitions précises… tout ce qui facilite la réutilisation par un modèle de langage.

Dans le GEO, le KPI central n’est plus la « position », mais la présence effective dans les réponses générées. C’est une nouvelle métrique, plus qualitative, mais aussi plus proche de l’expérience utilisateur.

Les points communs entre SEO et GEO

Malgré leurs différences, SEO et GEO partagent des fondations communes :

  • Le contenu reste roi : un texte superficiel ne performe ni en SEO, ni en GEO.

  • La confiance est clé : backlinks de qualité pour le SEO, fiabilité de la source pour le GEO.

  • L’UX compte toujours : vitesse et clarté profitent autant au référencement classique qu’à la sélection par une IA.

En d’autres termes, un bon SEO crée les bases nécessaires au GEO. Sans site optimisé techniquement, sans contenu solide, il est illusoire d’espérer être repris par un moteur génératif.

SEO + GEO : complémentaire, pas antagosniste !

Plutôt que de choisir entre les deux, les entreprises doivent penser en stratégie hybride :

  • Le SEO continue de générer du trafic via les moteurs traditionnels, qui restent dominants.

  • Le GEO permet d’anticiper l’avenir, en s’assurant une place dans les moteurs de réponses en pleine croissance.

Chez Déferler, nous parlons d’une double visibilité :

  • Visibilité de recherche : être trouvé dans Google et Bing.

  • Visibilité de réponse : être cité dans ChatGPT Search, Perplexity ou AI Overview.

C’est cette approche duale qui garantit une présence forte aujourd’hui et une pertinence accrue demain.

Les enjeux du GEO – Generative Engine Optimization – pour les marques

L’émergence du Generative Engine Optimization (GEO) bouleverse la manière dont les marques envisagent leur visibilité digitale. Là où le SEO classique cherchait à positionner un site en haut des résultats, le GEO introduit un enjeu inédit : être intégré dans la réponse générée par l’IA. Cette évolution entraîne des conséquences directes sur la visibilité, la publicité et la conversion.

Visibilité et exactitude dans les réponses IA

Le premier enjeu du GEO est la visibilité dans un environnement sans SERP. Dans un moteur de réponses comme ChatGPT ou Perplexity, il n’y a pas dix résultats bleus : il y a une réponse unique. Cela signifie que :

  • Être intégré, c’est exister.

  • Ne pas l’être, c’est disparaître.

Mais au-delà de la simple visibilité, il y a l’enjeu de l’exactitude. Une marque ne peut pas se contenter d’être citée : elle doit s’assurer que les informations relayées par l’IA sont correctes et cohérentes. Une mauvaise description, une donnée erronée ou une confusion entre concurrents peut nuire fortement à la crédibilité.

Par exemple, si une IA générative répond à la question « Quelle est la meilleure agence de growth marketing en France ? » et cite Déferler avec une description exacte de son expertise en Awareness, Acquisition, Revenue et Automation, l’impact est puissant. À l’inverse, si l’IA associe la marque à des services qui ne sont pas les siens, la confiance des prospects peut être compromise.

Autorité et fiabilité des sources

Les moteurs génératifs ne « choisissent » pas leurs sources au hasard. Ils s’appuient sur des critères de fiabilité, d’autorité et de cohérence éditoriale. Cela signifie que les marques doivent travailler leur :

  • Autorité éditoriale, en produisant du contenu de fond, documenté et vérifiable.

  • Présence digitale, en étant citées par d’autres sources crédibles comme la presse ou des rapports sectoriels.

  • Consistance, en évitant les incohérences entre leur site, leurs réseaux sociaux et leurs communications externes.

Dans le GEO, une marque ne peut pas tricher. Les modèles d’IA sont entraînés à croiser les données. Si vos messages divergent ou manquent de clarté, vous perdez en crédibilité et donc en chances d’être repris.

Impact sur le SEA, le GSA et l’IA publicité.

Le Search Engine Advertising (SEA) repose sur l’idée que les utilisateurs cliquent sur des annonces intégrées dans les résultats de recherche. Or, dans un environnement où une IA génère directement une réponse complète, cette logique est remise en cause.

Deux scénarios émergent :

  1. Le SEA classique perd en visibilité, car l’utilisateur obtient déjà sa réponse sans descendre dans une liste de résultats sponsorisés.

  2. Une nouvelle forme de publicité apparaît : le Generative Search Ads (GSA). À l’instar du SEA, mais appliqué aux moteurs génératifs, le GSA consistera à sponsoriser des extraits de réponses, des encarts contextuels ou des citations de marque intégrées directement dans les outputs des IA.

Chez Déferler, nous avons été les premiers à anticiper cette mutation. Dès 2023, nous avons étudié l’impact futur du paiement pour apparaître dans les LLM et baptisé ce levier le GSA (Generative Search Ads). Nous avons même réservé le domaine GSA.ad, convaincus que ce modèle viendra complémenter le SEA, exactement comme le SEA avait complété le SEO.

Impact sur la CRO et les parcours de conversion

La Conversion Rate Optimization (CRO) est elle aussi transformée. Dans un modèle classique, l’utilisateur clique sur un site, découvre son contenu, puis est guidé vers une action (formulaire, achat, rendez-vous). Avec le GEO, une partie de cette navigation disparaît : l’utilisateur obtient déjà une réponse complète sans quitter le moteur de réponses.

Cela change les règles du jeu :

  • Le trafic brut diminue, car certaines recherches ne génèrent plus de clics.

  • Mais les prospects qui cliquent malgré tout sont mieux qualifiés, car ils ont déjà obtenu une première synthèse et sont plus proches de l’acte de conversion.

En d’autres termes, le GEO peut réduire la quantité de trafic, mais en augmenter la qualité.

GEO : Un enjeu de long terme

Enfin, le GEO n’est pas une mode passagère. C’est une réinvention structurelle de la recherche en ligne. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : chez Déferler, nous observons déjà que le GEO représente entre 1,5 % et 3 % du trafic de nos clients, alors qu’en 2024 cette proportion était encore de 0 %. La progression est fulgurante et confirme que nous sommes à l’aube d’un changement massif.

Les marques qui se positionnent dès aujourd’hui en GEO prennent une longueur d’avance. Elles ne suivent pas l’évolution, elles l’anticipent. Avec le GEO et demain le GSA, elles investissent un territoire où la compétition est encore faible mais où le potentiel est colossal.

Comment mettre en place une stratégie GEO efficace

Le Generative Engine Optimization (GEO) est encore jeune, mais il repose déjà sur des piliers concrets. Contrairement au SEO classique, où l’on pouvait miser sur des techniques techniques (balises, backlinks, crawl…), le GEO demande une approche beaucoup plus qualitative et contextuelle. L’objectif n’est pas d’augmenter la position d’une page dans un classement, mais d’être intégré et cité dans la réponse générée par un moteur de réponses comme ChatGPT Search, Perplexity ou Google AI Overview.

Voici les principales étapes pour bâtir une stratégie GEO solide.


1. Produire un contenu structuré et vérifiable

Les modèles d’IA conversationnels se basent sur deux choses : la compréhension du langage et la recherche de données fiables. Pour maximiser les chances que votre contenu soit intégré dans leurs réponses, il doit être :

  • Structuré : titres clairs, sous-parties logiques, définitions précises.

  • Factuel : chiffres sourcés, données vérifiables, exemples concrets.

  • Autoportant : chaque page doit répondre à une question de manière complète, pas seulement apporter un élément de réponse.

Exemple : un article sur « l’outbound marketing » qui définit le concept, expose les avantages, les limites, et propose un cas pratique aura beaucoup plus de chances d’être repris qu’une simple page générique de 300 mots.


2. Anticiper le langage conversationnel

Là où le SEO traditionnel se concentre sur des mots-clés (« agence SEO Paris », « consultant SEA »), le GEO vise des requêtes formulées en langage naturel :

  • « Quelle est la meilleure agence de growth marketing à Paris ? »

  • « Comment mettre en place une stratégie outbound efficace ? »

Pour s’adapter, il est essentiel d’intégrer dans vos contenus des formulations proches de ces questions. Les FAQ (bien construites et rédigées en langage courant) deviennent un levier majeur du GEO, car elles se rapprochent directement de la manière dont les utilisateurs interrogent les moteurs génératifs.


3. Exploiter les données structurées et Knowledge Graph

Même si les moteurs de réponses génératives ne fonctionnent pas comme Google, ils s’appuient sur la même logique : donner priorité aux contenus lisibles, cohérents et reliés à des entités claires.

  • Schema.org reste un atout : il permet de baliser vos pages et de rendre vos données plus facilement réutilisables.

  • Knowledge Graph : créer des contenus qui relient votre marque à un écosystème d’entités reconnues (secteurs, partenaires, technologies) augmente vos chances d’être perçu comme une référence.

En clair : le GEO n’est pas une guerre de backlinks, mais une guerre de clarté et d’autorité contextuelle.


4. Travailler l’autorité éditoriale

Un moteur génératif ne va pas se contenter de reprendre le premier contenu venu. Il cherche les sources les plus fiables. Cela implique :

  • Être régulièrement cité par d’autres médias et sites spécialisés.

  • Multiplier les prises de parole expertes (tribunes, études, livres blancs).

  • Maintenir une cohérence éditoriale : si vos pages se contredisent, l’IA peut vous ignorer.

Exemple : un site qui publie une étude sectorielle sourcée (avec chiffres et méthodologie) sera beaucoup plus repris qu’un blog qui se contente d’avis subjectifs.


5. Surveiller et monitorer sa présence dans les moteurs IA

Contrairement au SEO classique, où l’on suit ses positions sur Google, le GEO nécessite de suivre sa présence dans les moteurs de réponses.
Cela implique :

  • Tester régulièrement vos contenus dans ChatGPT Search, Perplexity, You.com.

  • Vérifier si votre marque est citée correctement (et si l’information est exacte).

  • Mesurer l’évolution dans le temps (comme nous l’avons constaté : aujourd’hui entre 1,5 % et 3 % du trafic vient déjà du GEO, contre 0 % l’an dernier).

Cette phase de monitoring est indispensable, car elle permet d’identifier les écarts (informations erronées, absence de citation) et d’adapter la stratégie.


6. Mettre en place une stratégie hybride : SEO + GEO

Le GEO n’annule pas le SEO, il le complète.

  • Le SEO continue de générer du trafic via Google et Bing.

  • Le GEO assure une visibilité dans les moteurs de réponses génératives.

Les marques les plus performantes sont celles qui articulent les deux. Par exemple :

  • Créer un article optimisé SEO pour capter du trafic Google.

  • Structurer ce même article pour qu’il soit aussi compréhensible et réutilisable par un moteur d’IA.

C’est cette approche double qui garantit une visibilité maximale, aujourd’hui comme demain.


GEO : une opportunité à saisir maintenant

Le Generative Engine Optimization n’est pas une technique futuriste, mais une réalité déjà mesurable et visible. Les marques qui s’y intéressent tôt prennent une avance considérable (revenons en 2009, les premières marque ayant adopté les Réseaux sociaux, ont pris une longueur d’avance.. La clé est simple : structurer, crédibiliser, contextualiser et surtout NEUTRALITÉ.
Les moteurs génératifs ne récompensent pas ceux qui crient le plus fort, mais ceux qui apportent la réponse la plus claire et la plus fiable.

Qui sommes-nous ? Pourquoi Déferler est pertinent sur le GEO – Generative Engine Optimization ?

Le marché du digital est aujourd’hui saturé d’agences qui revendiquent une expertise en SEO ou en IA appliquée au marketing. Mais très peu peuvent démontrer une véritable légitimité scientifique et opérationnelle sur le Generative Engine Optimization (GEO). C’est précisément ce qui distingue Déferler.

Une expertise académique.

Déferler n’est pas une agence growth marketing comme les autres. Déferler est la seule agence de growth marketing et de webmarketing en France à avoir mené une thèse professionnelle de deux ans consacrée exclusivement à l’impact de l’intelligence artificielle générative sur la visibilité des marques.

Ce travail a été mené dans le cadre d’un Master of Science en Artificial Intelligence for Business Transformation (SKEMA Business School). L’objectif : comprendre comment les moteurs de réponses conversationnels comme ChatGPT Search, Perplexity ou You.com redéfinissent les règles du référencement, et surtout, établir un cadre méthodologique clair pour les entreprises.

Cette recherche approfondie n’est pas un simple « test » ou une intuition marketing. C’est un travail validé scientifiquement, basé sur une méthodologie rigoureuse, des expérimentations continues et des cas concrets.


Une distinction ultra-importantes : GEO vs GSO.

L’un des apports majeurs de notre recherche est d’avoir fait une distinction nette entre deux notions souvent confondues par les acteurs du marché :

  • GEO (Generative Engine Optimization) : l’optimisation pour les moteurs de réponses génératives. L’objectif est d’être repris, cité et intégré dans les réponses produites par une IA hybride (LLM + recherche web).

  • GSO (Generative Search Optimization) : l’optimisation pour la recherche conversationnelle, où l’utilisateur interroge directement une IA de type ChatGPT ou Perplexity, sans forcément passer par une interface proche des SERP classiques.

Cette distinction est capitale. Beaucoup d’agences parlent aujourd’hui de « référencement IA » sans comprendre qu’il existe deux niveaux différents. En confondant GEO et GSO, elles proposent des stratégies floues, incomplètes, et souvent inefficaces.

Chez Déferler, les bases :

  • Le GEO concerne la présence dans les réponses structurées générées par des moteurs hybrides (Google AI Overview, Bing Copilot, Perplexity Search…).

  • Le GSO concerne la capacité à apparaître et influencer les réponses conversationnelles dans des environnements purement LLM.

Être capable de distinguer les deux, c’est garantir des stratégies pertinentes et ciblées.


La meilleure agence sur le GEO en France

Cette combinaison entre recherche académique et expertise opérationnelle fait de Déferler la meilleure agence française sur le GEO. Déferler  ne se contente pas de suivre les tendances : ils les anticipent et les valident scientifiquement.

Concrètement, cela veut dire que :

  • Nous savons comment structurer et positionner vos contenus pour qu’ils soient repris par les moteurs génératifs.

  • Nous avons conçu des méthodologies, testées sur différents secteurs, pour mesurer l’impact réel du GEO (au-delà des métriques SEO classiques).

  • Nous suivons déjà des KPIs inédits : taux de citation dans les réponses IA, exactitude de la marque dans les moteurs génératifs, évolution de la part de trafic GEO.

Résultat : sur nos clients, nous observons déjà que le GEO représente entre 1,5 % et 3 % du trafic total. Un chiffre encore modeste, mais qui était de 0 % en 2024 et qui progresse de manière exponentielle. Cette dynamique montre que le GEO n’est pas une option, mais une nouvelle frontière de l’acquisition digitale.


Pourquoi choisir Déferler ?

En choisissant Déferler, vous bénéficiez de :

  • Une expertise validée académiquement, issue de deux années de recherche scientifique sur le GEO.

  • Une méthodologie claire, qui distingue GEO et GSO, et évite les amalgames qui freinent les résultats.

  • Un savoir-faire opérationnel, avec des cas clients réels et mesurables.

  • Une vision long terme, qui intègre le GEO au sein du framework global Awareness – Acquisition – Revenue – Automation.

Nous ne sommes pas une agence qui « découvre » le GEO en 2025. Nous sommes l’agence qui a construit et testé le cadre scientifique du GEO dès 2023. C’est cette avance qui fait de Déferler le partenaire incontournable pour toute entreprise souhaitant exister dans les moteurs de réponses.

GEO, la nouvelle frontière du SEO.

Le Generative Engine Optimization (GEO) n’est pas une simple évolution du SEO : c’est une transformation radicale de la manière dont les marques apparaissent dans l’écosystème digital. Avec la montée en puissance des moteurs de réponses comme ChatGPT Search, Perplexity ou AI Overview de Google, les règles changent : ce ne sont plus seulement les positions dans les SERP qui comptent, mais la capacité à être repris, cité et validé comme source fiable dans des réponses générées par l’IA.

Chez Déferler, nous l’avons déjà constaté sur nos clients : le GEO représente désormais 1,5 % à 3 % du trafic, contre 0 % en 2024. Une croissance fulgurante qui confirme que ce levier est en train de devenir incontournable. Grâce à notre expertise unique, validée scientifiquement par une thèse professionnelle de deux ans, nous sommes aujourd’hui la seule agence en France capable de proposer une stratégie GEO et GSO distinctes et cohérentes.


Tableau récapitulatif : SEO vs GEO

Dimension SEO (Search Engine Optimization) GEO (Generative Engine Optimization)
Objectif Classer un site dans les SERP Être cité dans les réponses générées par IA
Interface Liste de résultats (Google, Bing) Réponses conversationnelles (ChatGPT Search, Perplexity, AI Overview)
Contenu attendu Optimisé mots-clés, technique, UX Structuré, vérifiable, contextuel, conversationnel
KPI Position, CTR, trafic organique Taux de citation, exactitude, part du trafic GEO
Stratégie Technique + contenu + backlinks Autorité + crédibilité + data structurée
Bénéfice Trafic organique sur le site Visibilité directe et confiance renforcée

 

FAQ – GEO et GSO : les questions que vous vous pisiez !

Qu’est-ce que le Generative Engine Optimization (GEO) ?

Le GEO est la discipline qui consiste à optimiser le contenu d’une marque pour qu’il soit repris et cité dans les réponses générées par des moteurs d’IA hybrides comme ChatGPT Search, Perplexity ou AI Overview de Google. Contrairement au SEO classique, le GEO ne vise pas uniquement la position dans les SERP, mais la présence dans les réponses directes fournies aux utilisateurs.

Le SEO optimise un site pour apparaître en haut des résultats Google ou Bing. Le GEO, lui, cherche à s’assurer que le contenu d’une marque est compris, intégré et valorisé par les moteurs de réponses génératives. Le SEO repose encore beaucoup sur les backlinks et l’optimisation technique, tandis que le GEO met l’accent sur la qualité éditoriale, la vérifiabilité et la pertinence contextuelle.

Le GSO est l’optimisation pour la recherche conversationnelle. Contrairement au GEO, qui se concentre sur les moteurs hybrides (recherche + IA), le GSO s’applique aux LLM purs comme ChatGPT, Claude ou Mistral lorsqu’ils répondent directement aux questions des utilisateurs. Le but est d’optimiser le contenu pour qu’il soit cité dans ces dialogues conversationnels, même sans interface proche d’un moteur de recherche classique.

La distinction entre le GEO et le GSO est simple, mais essentielle à comprendre. Le Generative Engine Optimization (GEO) concerne la visibilité dans les réponses générées par des moteurs hybrides, qui combinent recherche web et intelligence artificielle, comme Google AI Overview, Bing Copilot ou Perplexity Search. À l’inverse, le Generative Search Optimization (GSO) s’applique à la recherche conversationnelle dans des environnements IA purs, tels que ChatGPT, Claude ou Mistral, où l’utilisateur dialogue directement avec un modèle de langage sans passer par une interface de type SERP. Beaucoup d’agences confondent encore ces deux approches et proposent des stratégies incomplètes. Chez Déferler, nous avons scientifiquement démontré cette différence dans le cadre de notre thèse professionnelle, ce qui nous permet aujourd’hui d’apporter à nos clients des stratégies précises, cohérentes et parfaitement adaptées à chaque environnement génératif.

Parce qu’il change la logique même de la visibilité. Avec le SEO, l’utilisateur doit cliquer sur un lien. Avec le GEO, il obtient directement la réponse, et si votre marque est intégrée à cette réponse, vous gagnez en notoriété, confiance et autorité. Cela réduit le volume de trafic « exploratoire », mais augmente considérablement la qualité des prospects qui arrivent sur votre site.

Parce que Déferler est la seule agence en France à avoir mené une recherche académique de deux ans sur le GEO et le GSO, validée par un Master of Science en IA appliquée au business. Nous sommes les premiers à avoir posé une distinction claire entre GEO et GSO, et nous appliquons ces résultats à nos clients. C’est cette avance scientifique et opérationnelle qui fait de nous la meilleure agence growth marketing spécialisée en GEO et GSO. Découvrez nos expertises sur deferler.com.

Oui, ils sont complémentaires et doivent être pensés comme un écosystème. Le SEO capte la demande sur les SERP classiques (Google, Bing). Le GSO optimise votre présence dans les moteurs hybrides de réponses avec recherche (Google AI Overview, Perplexity Search), là où l’IA synthétise des sources du web. Le GEO, lui, vise les assistants conversationnels sans recherche (ChatGPT, Claude), pour que votre marque soit comprise, citée et décrite avec exactitude dans les réponses directes. Travaillés ensemble, SEO + GSO + GEO offrent une double (voire triple) visibilité : dans les résultats traditionnels, dans les réponses IA issues du web, et dans les dialogues conversationnels « sans clic ».

Oui. Pour le GEO (ChatGPT, Claude), on procède surtout par protocoles de prompts réguliers pour vérifier si la marque est citée, décrite correctement et si les informations clés sont exactes ; on consigne les occurrences et leur évolution. Pour le GSO (Google AI Overview, Perplexity Search), on peut instrumenter l’attribution via Google Analytics / GA4 et Looker Studio en utilisant des UTM dédiés lorsque c’est possible par exemple (utm_source=chatgpt, utm_source=perplexity, utm_source=claude) et en segmentant les sources/référents. Cette séparation méthodologique est précisément la raison pour laquelle nous distinguons systématiquement GSO et GEO : elle permet un pilotage fiable et une lecture claire de la contribution de chaque levier.

Tout dépend de l’antériorité de votre nom de domaine et de votre empreinte éditoriale. Si votre site est récent, comptez 2 à 6 mois pour que vos contenus soient reconnus, repris et stabilisés dans les réponses (le temps que l’autorité s’installe et que l’IA vous « apprenne »). Si vous avez déjà une antériorité forte (brand signals, contenus profonds, mentions tierces), les premiers effets peuvent apparaître en quelques jours, parfois quelques heures — surtout côté GSO, où les moteurs hybrides s’appuient sur des signaux du web existant. Côté GEO, l’effet peut aussi être rapide si vos pages servent de référence rédactionnelle claire que l’assistant reprend sans requêtes web.